
Suite aux nombreuses réactions (positives) reçues suite à mon dernier article, je me dois d’y réserver une suite.
Tout est bon pour faire du vent… Les politiciens le savent très bien, eux qui se hissent souvent par du blabla, du vent et du copinage dans des sièges rarement éjectables avec pertes financières qui touchent rarement le patrimoine privé du candidat élu ou désigné parfois (souvent) comme marionnette d’un groupe politique qui se fout royalement de son client, l’électeur qui l’a mis en place. Liège en est en exemple. Mais Liège n’est pas un cas isolé.
Aujourd’hui, après l’incarcération de Stéphane Moreau & Cie, on pourrait encore se demander ce que pense notre ancienne ministre Christiane Vienne sur son attitude lors du procès Publifin où elle invitait un témoin de ne pas répondre à certaines questions.
Même en baissant les masques, on ne comprend plus rien au langage de ces vieux briscards qui ne devraient même plus avoir comme tribune les médias, tant ils ont usé et abusé … Médias, dont ils tiennent aussi les c… par des décisions qui se prennent parfois loin des claviers des scribouillards.
Si vous construisez un immeuble, l’entreprise et/ou l’architecte a/ont une responsabilité décennale. En politique : rien de cela n’existe ! Ces politiciens ou leurs cabinettards décident mais doivent rarement assumer leurs décisions financièrement.
Quant à l’impact sur les urnes, le temps et la désinformation jouent en leur faveur si jamais la justice vient à s’en mêler.
Normal dès lors qu’il y ait des trous…financiers, de mémoire ou dans les chantiers. Chef : « Si j’connaissais l’con qu’à fait sauter l’pont ! » Politiciens : « Tapez du pied sur le sol, il y aura toujours un quidam pour vous apporter du poisson et en tapant du pied vous ferez des trous avec le talon ».
Je retiens la phrase d’un ami « en politique, creusez toujours, ce sont les fonds du peuple qui vous manqueront toujours le moins » et rappelez-vous l’histoire de la grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite.
En attendant automobilistes, roulez, râlez, crevez vos pneus, payez vos taxes. Ils s’en foutent de vous. Leur cœur ne saigne plus !