Tournai vire au naturisme

Un proverbe dit qu’« il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ». Si ce n’est pas toujours le cas, cette situation arrive pourtant plus souvent qu’on ne le croit.

Revenons un peu en arrière

Souvenez-vous il y a un peu moins d’un an… Paul-Olivier Delannois, le bourgmestre Tournaisien, refusait une manifestation de cyclistes naturistes dans sa ville.

Etonnant quand même comme position pour Polo qui est comme chacun le sait est un grand amateur de cyclisme, qui rêve toujours d’une arrivée du Tour de France à Tournai, et qui n’hésite pas d’interdire une manifestation cycliste sur ses pavés.

« Etant donné la présence d’enfants et les risques d’incidents potentiels liés à la manifestation (obligation/imposition de la vision de corps nus dans l’espace public), je ne peux marquer mon accord sur cet événement » soulignait le Shériff tournaisien.

Un peu légers comme arguments d’autant plus que le départ et le parcours auraient pu être revus et programmés dans d’autres endroits afin d’éviter certaines artères.

Nous aurions mieux compris la position du bourgmestre s’il avait invoqué l’état désastreux de certaines artères tournaisiennes pour les deux roues comme la rue St Martin ou de la Citadelle où à chaque coup de pédale le cycliste risque l’embardée.

Un rétropédalage

Bref, après mûre réflexion et à quelques encablures d’échéances électorales, le maïeur tournaisien semble revenir à de meilleurs sentiments.

C’est connu, un homme politique partageant la couette avec une Ministre ne passe pas inaperçu…

On apprend via certaines indiscrétions de son Cabinet que le couple politico/glamour Tournaisien avait d’abord passé quelques jours de vacances loin des regards et des objectifs sur une plage naturiste… et qu’ils y ont pris goût, un goût certain même.

Est-ce ce triptyque loin des terres tournaisiennes avec sa Lulu et en tenue d’Adam (et d’Eve) qui aurait fait changer d’avis Polo ? Il se chuchote en effet que le bourgmestre Tournaisien aurait pris goût à sentir un petit vent et le soleil lui caresser la peau.

Mieux, notre duo à la rose s’est essayé à la promenade à vélo (voir photo) …

Et comme bien souvent, un photographe traîne toujours dans le coin à l’affût d’un cliché qui pourrait être vendu dans un magazine à sensations tels « Voici » et autres revues du même ton.

Mais ici pas de chance pour le « voyeur » … car personne ne semblait intéressé d’acheter le cliché et les journaux locaux ont sans doute craint de trouver portes closes pour leurs bonnes infos locales en cas de diffusion du cliché assez chaud. Pour preuve ? Souvenez-vous de la page « Regard » qui paraissait chaque samedi dans le journal L’Avenir qui égratignait de temps en temps et gentiment nos politiciens… Cette page fait désormais partie du passé. Et dans le même registre, la page « Une semaine de sport » qui paraissait le samedi et qui donnait un autre regard sur l’actualité sportive du même journal ne fait plus que des apparitions sporadiques …  Etrange n’est-ce pas ?

J’ai donc le privilège de publier en primeur une photo haute en couleurs du couple politico/glamour tournaisien.

En soutien aux Ecolos

Son Echevin de la mobilité Jean-François Letulle se dévouant corps et âme pour éjecter un maximum de voitures de sa ville (on n’est pas Ecolo pour rien), Polo ne voit pas pourquoi il ne lui donnerait pas un petit coup de rayon pour mettre en avant la mobilité douce dans sa chère ville d’autant plus qu’il y aurait 36 % de cyclistes en plus qui sont comptés aux entrées de la ville de Tournai. C’est donc une belle manne d’électeurs potentiels pour celui qui compte rempiler dans ses fonctions de maïeur en 2024.

Quand ?

Mais il faudra sans doute encore attendre quelques semaines et les beaux jours pour découvrir la date et le circuit qu’emprunteront nos joyeux cyclistes et amateurs de trottinettes qui déambuleront dans les artères tournaisiennes.

On ne peut évidemment que féliciter le bourgmestre Tournaisien de son initiative et de ce revirement inattendu.

Même si elle a été invitée, aucun écho venant de Mouscron et de sa bourgmestre Brigitte Aubert pour savoir si elle participera à ce défilé de beaux … mollets et si une telle initiative se tiendra dans la foulée dans la cité des Hurlus ! Madame Aubert attend sans doute de voir si la randonnée tournaisienne remportera un beau succès.

Sale temps pour Brigitte Aubert, la bourgmestre de Mouscron

Un véritable séisme s’est abattu ces dernières heures sur Mouscron…

Depuis quelques jours, il se chuchotait qu’un ouvrier était décédé en travaillant dans une maison appartenant à la bourgmestre de Mouscron et/ou à son mari.

Ce matin, un gros titre barrait la première page de L’Avenir « « Madame Aubert faisait-elle travailler « au noir » » ?

Cette info circulant depuis quelques jours, on se demandait qui aurait le courage de lancer l’information. No Tele s’est lancé suivi par Sud Presse et ensuite L’Avenir.

Avant ce malheureux épisode où une personne a perdu la vie, madame Aubert a déjà dû faire face à pas mal de bruits ou rumeurs courant en ville.

Le premier en date fut celui de son couple qui était au plus mal. Certains parlaient de séparation, de divorce, … et j’en passe. Notre bourgmestre aurait d’ailleurs fait une mise au point à ce sujet au sein du CAM. Vinrent ensuite les tribulations de sa belle-fille relayées par la presse. Cette dernière a eu le courage de mettre les points sur les i et c’est tout à son honneur.

Bref, arrêtons de tirer sur les poules, le verger est plein.

L’impartialité de la presse

Comment la presse écrite allait-elle relayer l’info d’une bourgmestre prise dans la tourmente et qui doit sans aucun doute être très mal dans sa peau en ce moment.

Le journal télévisé de No Télé de ce jeudi 18 heures présenta un reportage d’un peu moins de 6 minutes donnant même la parole à Charles-Eric CLESSE, l’auditeur du travail du Hainaut pour travail illégal.

Un peu avant 20 heures, c’était au tour du Nord-Eclair de sortir son papier sur leur site internet. L’information de la télévision locale est relayée ; ni plus ni moins. L’article n’est même pas signé ! L’auteur a-t-il eu peur de la réaction de notre Bourgmestre ou peut-être n’assure-t-il pas ses écrits ? A-t-il eu peur qu’on lui coupe le robinet des infos ?

Et L’Avenir me direz-vous ?

Très souvent premiers sur la balle, les journalistes tardaient à sortir l’info. Les empêcherait-on de sortir cette info ? Que nenni.

A 20.44, le billet tombait ! On comprend mieux le retard apporté tant l’information est détaillée. Un vrai travail de journalisme, de fouine avec des mots très durs de Thomas Turillon pour commencer « Même s’il faut que l’enquête puisse être menée sereinement, c’est à nouveau du grain à moudre qui est donné aux détracteurs qui estimeront notamment que la bourgmestre n’était pas à la rue au point de faire travailler gratuitement un senior parcourant 100 kilomètres aller-retour à chaque fois, qu’elle avait quand même les moyens de trouver un autre entrepreneur et surtout, en guise d’exemplarité prônée à la Ville, de faire travailler de façon officielle de l’entreprenariat régional qui souffre déjà d’une terrible crise actuellement traversée… ».

Pour sa part, son collègue, Géry Eykerman titrait. « Sans contrepartie ? L’étrange défense de la bourgmestre de Mouscron » en rajoutant une fameuse couche « Alors qu’est-ce qui peut pousser une femme politique, pas tout à fait démunie, à insister sur le fait que l’homme qui travaillait chez elle le faisait « gratuitement », « par amitié » ? Qu’est-ce qui peut la pousser à préférer se faire passer pour profiteuse plutôt que pour quelqu’un qui a eu recours à une personne travaillant au noir ? »

Bref, on lit, on relit, on écarquille les yeux et on compare… et on se pose également des questions.

Depuis combien d’années cette personne travaillait-elle pour le couple Aubert ? Quid des dédommagements si la culpabilité est prouvée ? Madame Aubert ne devrait-elle pas faire un pas de côté le temps que cette affaire soit traitée et classée ?  

Le prochain conseil communal risque d’être chaud. Si elle est présente et qu’on la questionne sur le sujet elle lancera certainement qu’on ne parle pas de problèmes privés au sein du conseil communal.

Pourquoi deux tons différents pour un même fait ?

Les anciens Mouscronnois ne sont pas dupes. Ils n’ignorent pas que le Nord-Eclair a toujours été très/trop proche du pouvoir à Mouscron.

Qui ne se souvient pas d’André Losfeld, dit Nounours dont le bureau était alors planté sur la Grand-Place de Mouscron, à un jet de stylo de notre administration communale ? D’une nature grande gueule, gros cigare au bec, pas toujours très clean sur lui. C’est sa plume qui faisait la pluie et le beau temps à Mouscron. Toujours aux basques de feu l’ancien bourgmestre Jean-Pierre Detremmerie et de sa cour pour ne pas dire sa clique. Il ne fallait pas le contrarier car il vous rentrait dans le lard. Si vous touchiez à feu l’Excelsior vous étiez impardonnable !

Je peux en témoigner pour avoir essuyé les foudres de sieur Losfeld. Toutefois, un petit recommandé envoyé dans les gencives le remettait vite à sa place même s’il essayait de faire bonne figure.

C’est certain que lui avait compris l’importance pour un journal d’être proche de l’Hôtel de ville, de sa majorité, du pouvoir en place. Mieux, même au sein de l’opposition il avait trouvé son rapporteur qui en plus occupait un poste d’administrateur au sein, du club de football local.

Lorsque Alfred Gadenne fut élu bourgmestre, c’est Jean-Michel Soupart alors chef d’édition du Nord-Eclair et aujourd’hui chef de bureau à … l’administration communale de Mouscron qui s’empressa d’offrir un gsm au nouveau bourgmestre.

Pour obtenir des infos en primeur, il est indéniable qu’il faut très souvent caresser le pouvoir dans le sens du poil et être très gentil avec les membres de la majorité.

Quelques « anciens » n’hésitent pas à se confier en précisant que c’est une coutume hurlue d’avoir à sa solde des journaleux. Certains auraient même eu, à une certaine époque, des privilèges princiers en logeant gratis à l’hôtel. Il y a prescription ! 

« On a les politiques qu’on mérite » dit-on… mais qu’ai-je fait pour mériter ça, moi ?

Bref, en attendant, des enfants pleurent leur papa et personne ne le leur rendra.

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Une cohabitation piétons / deux roues est-elle possible ?

La saga des trottinettes et des vélos dans le centre-ville de Mouscron a déjà fait et fera sans doute encore couler pas mal d’encre et de salive.

De débats en débats, La dernière décision en date serait d’: « Interdire la circulation des trottinettes et des vélos sur l’esplanade de la Grand-Place et dans la Petite-Rue. Des contrôles seront organisés pour la faire respecter et la situation sera évaluée dans 6 mois » peut-on lire sur le site de la RTB en date du 25 mai dernier.

La bourgmestre a notamment suivi l’avis du commissariat indiquant que les incivilités sont légion au point qu’il faudrait une surveillance permanente pour réprimander si pas verbaliser.

Notez bien la conjugaison du verbe falloir. « Il faudrait » et non pas « On va faire ».

Mouscron et Dalida pourrait s’accorder sur un point « Paroles, paroles, paroles » Quant aux actes… on patientera.

Le GRACQ (Groupe de Recherche et d’Action des Cyclistes Quotidiens) s’offusque de la décision de madame Aubert. On peut se demander si ses membres ont déjà mis le bout du nez dans l’hypercentre ou même dans nos artères où les trottinettes défilent à la vitesse grand V sur les trottoirs. Il faudra peut-être un grave accident pour avoir une réaction communale.

Loin de moi l’idée de défendre notre bourgmestre, mais s’il y a des fous du volant, il existe des tarés sur 2 roues, au mépris total des piétons. Lorsqu’en plus on constate l’état de nos trottoirs et de nos routes, les cyclistes mais surtout les utilisateurs de trottinettes – et ils sont légion- risquent leur vie à chaque tour de roue.

Ce matin, sur le marché communal, des dizaines de vélos et trottinettes déambulaient. OK, leur vitesse était pour certains limitée… mais où est l’interdiction prônée ?

Comme bien souvent, à Mouscron on pond des lois, des règlements -sans doute pour se donner bonne conscience-, mais on ne fait rien respecter ou si peu. Il y a très loin de la coupe aux lèvres.

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L’arnaque continue à Mouscron et ailleurs

Leur cinéma est bien rôdé et leur clientèle bien ciblée …

Ils arrivent bien souvent de l’autre côté de la frontière avec tout ce qu’il faut pour attirer les pigeons … ou les cochons de payeurs.

Ils se présentent avec une petite carriole, vous offrent un petit bonbon et embrayent en vous demandant d’acheter un paquet pour aider leur cirque … Évidemment, ce cirque n’existe pas et les 5 € (parfois même beaucoup plus) récoltés ne servent qu’à remplir leur caisse. En observant leur manège, on constate que les personnes âgées ou celles se promenant avec un compagnon à quatre pattes sont particulièrement visées.

Les plus anciens se souviendront sans doute que ces arnaqueurs déposaient parfois un petit animal (chat, chien ou même une chèvre sur leur présentoir à bonbons)

Ce mardi, sur le marché de Mouscron, les vendeurs de bonbons avaient fait place à ce qui pourrait ressembler à un Mickey.

Le célèbre personnage de Disney était accompagné de son photographe. Polaroïd au cou, il attendait que sa grande souris ait appâté un client… Oui, tout est bien rôdé ! Clic clac, pour 8 € vous aurez droit à votre photo. Pour quelle œuvre « bidon » ira cette fois-ci les bénéfices de leurs prises de vues ?

Sans aucun doute comme pour les vendeurs de bonbons : tout dans leurs poches.

Combien de temps nos autorités communales laisseront-elles encore notre population se faire plumer par de tels escrocs ?

Evidemment, nulle présence de représentants de l’ONSS ou de l’ONEM pour les contrôler !

Non cela ne fait pas partie du folklore comme certains l’affirment.

N’hésitez pas à cliquer sur la photo pour découvrir un très bel article publié sur le site de RTL sur ce sujet.

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Le foot mouscronnois déjà dans la tourmente ?

Qui a dit qu’il n’y a jamais de fumée sans feu ?

Alors que l’on semblait de plus en plus repartir sur des bases résolument saines pour relancer le foot à Mouscron avec des Mouscronnois, il semblerait qu’à peine mis sur les fonds baptismaux, le nouveau club de football local (Stade Mouscronois Squadra)  doive déjà faire face à quelques soucis … Le foot à Mouscron ne sera donc jamais un long fleuve tranquille.

Rien n’est clair depuis quelques temps. Malgré l’investissement de pas mal de personnes pour relancer le foot mouscronnois, notre Bourgmestre Brigitte Aubert et son acolyte l’Echevin David Vaccari semblent vouloir à tout prix retrouver du foot professionnel à Mouscron.

Vite largué de feu l’Excel, Mbo MPenza voulait à nouveau se mettre en avant. Pari réussi car il devient le président de Mandel, un club basé à Izegem mais qui jouerait à Mouscron… Dans la foulée, on peut raisonnablement envisager qu’Mbo emmènera son frère Emile dans ses bagages.

Malgré les 25 minutes de route et un peu moins de 30 kms qui séparent les deux villes, nous savions que ce club flandrien souhaitait venir jouer à Mouscron mais là, les responsables semblent bel et bien vouloir éjecter les vrais Mouscronnois de leur stade. N’est-ce pas madame Aubert ? N’est-ce pas monsieur Vaccari ?

Ne serait-ce pas couper l’herbe sous le pied des dirigeants Hurlus qui aujourd’hui ne savent toujours pas où ils pourront jouer lors de la prochaine saison et à quelles conditions.

Dans le pire des cas, n’est-il pas possible de faire cohabiter ce club flamand avec le club mouscronnois ? Rappelons qu’à Bruges, deux clubs de 1ère division partagent le stade.

Ce qui est possible à Bruges ne pourrait pas l’être à Mouscron ?

Une décision aujourd’hui ?

Une entrevue avec le véritable club de foot mouscronnois, et les autorités politiques prévue ce jour devrait nous éclairer un peu plus sur les intentions de notre administration et de l’IEG quant à l’avenir du Stade Mouscronnois Squadra. Après les nombreuses promesses de rendez-vous, mieux vaut tard que jamais diront certains.

Il reste à espérer que le Stade Mouscronnois Squadra ne soit pas le cocu du ballon rond à Mouscron comme le fut Péruwelz.

Et le Futurosport ?

A ce propos, la Bourgmestre semble se réjouir des subsides obtenus et de la série d’investissements qui les accompagnent… Sauf que cela ne concerne – quand on lit et relit bien – qu’UN SEUL SPORT … Devinez ! Le football, évidemment ! 

Sur le site Internet de la Ville de Mouscron un gros titre saute aux yeux « Un subside de 2,5 millions € pour les aménagements du Futurosport » … En parcourant cette page on peut découvrir que « Pour le projet concernant des aménagements divers au pôle football du centre sportif de la Barrière Leclercq, mieux connu sous le nom de Futurosport, c’est un subside provisoire de 2.430.280 euros qui est annoncé ! ». 

Certaines personnes rient jaune en faisant remarquer que « Futurosport » s’écrit sans S …. On ne peut donc y favoriser qu’une seule discipline.

En aparté, les langues se délient et expriment des déceptions quant à la différence de traitement des élèves logeant à l’internat selon le sport pratiqué. Rien que les moyens de transport proposés décourageraient les non-footeux…

Le niveau de discipline par rapport au concept « école » serait également problématique pour ceux qui désirent s’épanouir au-delà d’une ligne tracée à la chaux….

Bref, la presse et quelques politiques locaux font la publicité d’une belle manne promise. Ils feraient également bien d’évaluer le concept avec TOUS les acteurs avant qu’il ne soit trop tard et qu’ils se retrouvent avec une maison à moitié vide sur les bras car les perles encore présentes aujourd’hui auront quitté l’endroit.

Repartira-t-on vers de nouvelles aventures nébuleuses avec le ballon rond à Mouscron ? Quel rôle jouera Michel Franceus, l’ancien vice-président de feu Royal Exel Mouscron mais également encore pour quelques temps président de l’IEG ? Poste où il s’accroche très fort, financièrement parlant.

Et bientôt le tour du cyclisme ?

Si ici on parle plus spécialement de la saga du ballon rond mouscronnois, un autre dossier pourrait sans doute également faire parler de lui, une maison du cyclisme devrait en effet voir le jour en 2023.

Nul doute qu’on en reparlera et qu’ici également, on risque de bien rigoler, car ce sera sans doute une nouvelle histoire familiale.

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Mouscron, l’endroit où il faut être ?

2 € 40, tel est le prix pour parcourir la gazette Nord-Eclair du dimanche … C’est quand même cher payé pour un journal léger, léger, léger dont cinq ½ pages de pubs, une de mots croisés et 2 réservées aux programmes TV.

OK, il n’y aurait rien à redire si on n’avait pas l’impression qu’on se fiche des lecteurs, le cochon de payeur.

Ce dimanche matin, si le soleil n’était pas aussi chaud et présent, je me serais cru quelques mois plus tôt, plus précisément au 1er avril dernier…

C’est un article non-signé repris en page 7 sous le titre « Mouscron, the place to be ? », traduction « Mouscron, l’endroit où il faut être » qui a particulièrement suscité ma curiosité.

Alors là, le journal m’est tombé des mains ! Je n’en croyais pas mes yeux ! Ils ont osé !

Explications ?

Est-ce un article qui devait paraître il y a une bonne dizaine d’années et qui on ne sait par quel miracle a été publié dans les pages de ce dimanche ? Le journal local a-t-il fait appel à un étudiant venu dont ne sait où pour combler le manque d’inspiration des journaleux de service ? L’auteur du texte a-t-il trop forcé sur l’alcool attablé avec un journaliste au « Brasseur » ou au « Georgy’s Bar » ?  Un petit malin s’est-il amusé à créer le buzz ? Je ne vois que cette dernière explication tellement la ficelle est grosse …

Les quelques extraits ci-dessous devraient vous donner la banane pour quelques heures car même nos élus politiques n’auraient pas osé sortir de tels bobards. Encore que …

Lisez plutôt : « Mouscron attire et continue d’attirer, un fait dont personne ne doit douter. Alors que la partie flamande de la région a le plus grand mal à attirer les touristes d’un jour dans les centres villes. », « Mouscron reste une attraction pour beaucoup de gens », « Du shopping, une journée de lèche-vitrines ou simplement une soirée de détente ? Tant les Wallons que les Flamands se retrouvent à Mouscron. », « L’afflux d’excursionnistes est un atout majeur pour ceux qui souhaitent investir et faire des affaires à Mouscron. », « Les commerces traditionnels d’antan côtoient des activités ultramodernes dignes d’une métropole », « 7700 (lisez Mouscron) s’impose aisément comme le code postal le plus branché de Wallonie picarde ». N’en jetez plus, la coupe est pleine.

Non, vous ne rêvez pas, l’article version méthode Coué est paru dans le Nord-Eclair de ce 10 juillet 2022 et pas dans Le Gorafi, un site d’information parodique français ni dans le Canard Enchaîné qui comme chacun le sait est un hebdomadaire français satirique.

Ce rédacteur s’est-il projeté en l’an 3022 après Jésus-Christ ? A moins qu’il ne cherche également et tout simplement à se caser dans le Cabinet de notre Bourgmestre ou chez un Echevin, comme d’autres l’ont fait avant lui ?

Les optimistes (et les autres !) ne manqueront pas de nous faire remarquer qu’il vaut mieux lire ce genre de chronique qui nous fait rire aux larmes que des articles sur les bagarres et autres faits divers qui empoisonnent la vie des Mouscronnois et qui reflètent tristement la réalité du terrain.

On devrait lire plus souvent ce genre de chronique dans le quotidien régional car comme l’affirme Christine Jammes : « Rire en famille, c’est mettre une belle cerise sur le gâteau de la vie. »

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Polo et Lulu n’ont rien volé ni détourné, ils font leur job

Je fais suite à mon article d’hier et je me pose des questions.

Est-ce le titre ou la petite phrase reprise au-dessus de la photo du couple tournaisien qui ont provoqué des réactions si nombreuses, même s’il est vrai que la phrase mythique « On dit merci qui ? »  est ancrée dans pas mal de têtes.

Toujours est-il qu’après les quelques remarques reçues, je me dois d’apporter des infos supplémentaires.

Et pour agrémenter cet article, quoi de mieux qu’un petit montage réalisé avec une prise de vue de la rue de la Citadelle, celle où la caserne tournaisienne est située.

Il vaut mieux y passer en 4×4 plutôt qu’à vélo. Il est même étonnant que Tournai n’ait pas été reprise comme ville de passage pour le Tour de France avec les pavés de cette rue… il est vrai qu’ils sont mieux entretenus sur les tronçons du Nord… Le Bourgmestre de Tournai, présent aujourd’hui sur le secteur n°3, y était sans doute également pour étudier comment entretenir ses pavés tournaisiens.

Est-ce un crime de faire jouer ses relations pour faire vivre honnêtement sa région quand on a eu un mandat des électeurs ? Négatif à mon humble avis.

Le gâteau doit toujours se partager. Tant chez les humains que chez les animaux, et plus encore chez les politiques, on sort les crocs pour satisfaire sa faim.

Ce n’est également pas un crime que de se voir mandater si on a une bonne bouille sans forcément en avoir les compétences et qu’on se présente aux élections. La fonction peut créer l’orga(sm)ne.

Dans certaines familles politiques, surtout au niveau communal, on a parfois l’art d’établir des listes électorales ressemblant fortement au scénario de la 7ème compagnie. Et quand elle perd ses chefs, le scénario prend parfois une tournure frisant le ridicule.

Mouscron a perdu ses ténors capables de faire gagner la Ville. Force est de constater que la Cité des Hurlus a perdu son aura et n’a plus que ses troisièmes couteaux pour batailler en nageant dans la semoule.

Les Engagés risquent rapidement de devenir les futurs dégagés si un ténor régional débarquait en terres hurlues. Un Jean-Luc Crucke par exemple ?

Le tout serait de ne pas être parachuté bêtement comme ce fut le cas à Tournai en laissant tomber après maintes manœuvres maladroites en coulisses un nain dans un magasin de porcelaine qui a brisé du vieux Tournai frigide à tous changements.

Alors oui, le duo Polo-Lulu dérange le pauvre Francken qui pour exister ne le ménage guère.

Les chars de Lulu n’ont pas encore déraciné les vieux pavés tournaisiens, ce qui dans la rue de la Citadelle -voir photo- ferait probablement l’affaire de Polo qui solliciterait, peut-être, un dédommagement de La Défense.

Un conseil nocturne en aparté réglerait certainement et rapidement l’affaire. Mais cela ne nous regarde pas, affaire privée !

Ces deux-là ont remis Tournai au premier plan. Chacun, dans leur fonction respective, collectionne de nombreuses réussites… et … sans scandale… Ça redonnerait presque confiance au « politique » … Pourvu que cela « doure » pour cette grande ville qui avait perdu beaucoup de sa superbe.

Il n’empêche que pour l’instant Tournai bouge, Ath vit et Mouscron donne l’impression de stagner, voire de sombrer. Même si Lulu faisait débarquer l’unité cycliste à Mouscron, elle ne pourrait pas circuler sur la Grand-place ni dans la Petire-Rue.

Circulez, il n’y a rien à voir dirait la 7ème compagnie.

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Allô Polo, Allô Lulu

Loin des chamailleries qui foisonnent dans la presse sur leur couple, Paul-Olivier Delannois, bourgmestre de Tournai, profite aujourd’hui d’une belle journée sur le Tour de France alors que sa moitié, Ludivine Dedonder donnait hier des coups de pioche pour l’installation du futur complexe destiné à abriter, sur la base aérienne de Florennes, les drones pour effectuer des missions de reconnaissance.

Si Théo Francken rugit sur le couple Polo/Lulu, il n’hésite cependant pas à lancer « J’aime la Wallonie et les Wallons ».

Mais au-delà de ces polémiques politiciennes, peut-on reprocher au couple Polo/Lulu de favoriser leur ville ?

Il convient néanmoins de se poser quelques questions sur cet adage « Charité bien ordonnée commence par soi-même ».

Le couple tournaisien ne s’inspire-t-il pas d’un autre socialiste qui à l’époque fit d’Ath ce qu’elle est aujourd’hui ? Ath, que certains avaient même rebaptisé « Spit City », doit beaucoup si pas tout à Spitaels que certains surnommaient « Dieu ».

Un Paul-Olivier Delannois qui n’hésite d’ailleurs pas à avancer que son modèle politique n’était autre que Guy Spitaels. Le modèle politique de Lulu est très différent. Sa source d’inspiration est Michel Daerden, l’amuseur public. « En politique je lui dois tout ce que je suis devenue » déclare-t-elle après avoir appris la disparition de « papa ».

On le sait, le maïeur tournaisien n’a pas la langue en poche et après le décès de Detremmerie, il était évident que ses successeurs ne devaient pas s’attendre à des cadeaux venant de sa part.

Delannois n’avait d’ailleurs pas tourné autour du pot la veille des élections d’octobre 2018 : « J’assume mes choix pour Tournai », « Je pense d’abord pour Tournai », « j’agis pour Tournai », « se battre pour Tournai », … Le ton était donné !

Certains me rétorqueront qu’il a aussi déclaré « Les relations avec Rudy Demotte sont bonnes et le resteront ». On sait ce qu’il en est advenu… Le petit Rudy s’est tout simplement fait bouffer par le couple Delannois/Dedonder. Ciao Rudy.

Et Mouscron dans tout ça ?

Une seule réponse : On se fait dévorer !

Si grâce à ses nombreux mandats politiques Guy Spitaels avait mis en avant sa ville, Detrem de son côté avait réussi à mettre Mouscron sur la carte du monde grâce au foot. La suite de l’histoire est moins sexy …

A cette époque, Tournai vivait quasi dans l’ombre de ses villes voisines : l’une gérée par les socialistes (Ath), l’autre (Mouscron) par le cdH devenu depuis peu « Les Engagés ».

Mais la roue a bien tourné, même si c’est dans le mauvais sens pour les Mouscronnois.

Les chats sont partis, les souris dansent

Après le décès de Detrem et ensuite la perte de son poulain Damien Yzerbyt emporté par la maladie, les Tournaisiens n’allaient pas manquer de faire payer aux Hurlus leur mise à l’ombre…

Aujourd’hui, le duo Polo/Lulu s’en donne à cœur joie pour redonner ses lettres de noblesse à la Cité de Clovis.

D’un côté un bourgmestre défendant SA commune becs et ongles, de l’autre une compagne parachutée Ministre de la Défense par Polleke (Magnette). Il n’en fallait pas plus pour promouvoir Tournai tous azimuts.

De Mouscron on n’en parle plus. A l’image de l’Eurométropole Lille-Courtrai-Tournai

Si à Mouscron on grince des dents devant la fuite des institutions, aujourd’hui les Tournaisiens jubilent devant les actions du « couple royal de Picardie ».

Si tout va pour le mieux dans le ménage glamour tournaisien, certains se demandent s’il y a un futur divorce fracassant dans l’air dans le couple de Wallonie picarde ? L’avenir nous l’apprendra…

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Brigitte Aubert omniprésente ou propagande électorale …

Faut-il encore s’étonner de la présence de madame Brigitte Aubert, bourgmestre Mouscronnoise, dans le dossier du « football mouscronnois » lorsque l’on voit son omniprésence dans la revue communale Vivre dans ma ville de juin 2022 où elle n’apparaît pas moins de 17 fois sur 24 pages.

Allez Brigitte, encore un petit effort pour avoir 100 % de présence photogénique dans la prochaine parution.

Il va sans dire que cette revue est pour notre bourgmestre une très belle tribune de politique électorale à défaut des travées des tribunes de foot… ?

Sauf erreur de ma part, jamais ses prédécesseurs au poste de bourgmestre ne se sont permis autant de largesses.

Madame Aubert veut-elle concurrencer son homologue Estaimpuisien Daniel Senesael qui était apparu 30 fois dans le bulletin communal et ce à quelques semaines des élections d’octobre 2018, ce qui lui a valu quelques ennuis après un dépôt de plainte ?

Vous remarquerez que ces deux revues communales « Estaimpuisiennes » ne sont plus en ligne !!

Madame Aubert, constatant comme beaucoup d’autres ce que devient notre ville, peut-être serait-il intéressant de rappeler certaines règles (stationnement, propreté et autres incivilités…) dans votre revue ?

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L’ « action Excel » : un bon placement ?

Après les différentes sagas du foot mouscronnois et le dernier épisode en date, on semble enfin vouloir repartir sur des bases plus saines« les jeunes, les filles et une équipe P3 qui remonte à son rythme en s’appuyant sur le vivier des joueurs du cru ».

Bizarrement, depuis l’aveu de la dernière faillite du club, certains politiques sont aux abonnés absents, c’est l’omerta totale.

Dans mon dernier article je faisais allusion à un courrier transmis à Michel Franceus, président de l’IEG mais également vice-président du feu Royal Excel Mouscron ainsi qu’à Mathilde Vandorpe, députée wallonne qui a pris la place de Damien Yzerbyt décédé, tous deux membres du Cdh ou plutôt « Les Engagés ».

Dans cet article, je m’interrogeais à propos des révélations d’un journaliste de la Dernière-Heure qui écrivait que des actionnaires mouscronnois (dont les deux politiciens -cités ci-dessus-) avaient empoché une somme de 150.000 € pour une mise initiale de … 2.000 €.

Malgré mes nombreuses recherches, je n’ai trouvé aucune banque ayant un tel rendement sur un investissement de 5 à 6 années.

Réponse ou pas de réponse de nos politiciens ?

J’avoue que je ne m’attendais pas à recevoir une réponse aux mails adressés aux deux politiciens concernés.

Et pourtant, ce 21 juin, une réponse de Mathilde Vandorpe atterrit dans ma boîte mail « Bonjour Dominique. J’ai bien lu l’article de la dernière heure. Il serait bon que la presse vérifie ses sources avant de faire des publications de ce genre. Je ne manquerai pas d’en faire part à Julien Parzynski, qui est un de mes anciens élèves ».

Surpris du retour que m’a adressé notre députée, je suis encore plus interloqué par son contenu … N’aurait-il pas été intéressant de savoir ce qui la chagrine réellement dans cet article rédigé par son ancien élève d’autant plus que je n’ai lu aucun droit de réponse dans la Dernière-Heure, ce qui aurait pu être demandé.

Je n’irais pas jusqu’à reprendre les propos d’un ancien conseiller communal de l’époque et proche du pouvoir Cdh qui avait lancé « qui ne dit mot consent», pour implanter coûte que coûte une télévision locale dans la cité hurlue sur fond de Demokratur mais il aurait été intéressant de savoir ce que Mathilde voulait exactement dire.

Dès lors, plusieurs questions peuvent être posées :

  1. Elle n’a rien reçu.
  2. Elle a tout reçu et a tout gardé.
  3. Elle a tout reçu mais a quand même remboursé les 2.000 € à la veuve de Damien Yzerbyt.
  4. Elle a tout reçu et a tout donné à la veuve de Damien Yzerbyt.
  5. Elle a tout reçu mais a versé tout ou partie au Futurosport.
  6. L’agent de football Pini Zahavi n’a pas remboursé les parts aux 9 personnes ayant investi chacun 2.000 €
  7. toute autre solution …

Quant à Michel Franceus… il avait sans aucun doute d’autres chattes à fouetter que de prendre le temps de me répondre … Dès lors Monsieur Franceus, qui ne dit mot consent ?

Si un tel investissement venant de privés (avocat, comptable, et autres professions libérales) pourrait paraître moins choquante (encore que …), n’est-il pas inadmissible que des politiciens payés avec les deniers publics -notre argent-, fassent preuve d’opportunisme pour se sucrer parce qu’ils sont au bon endroit au bon moment ?

De même, lors de la constitution de cette société coopérative à responsabilité limitée à finalité sociale, pourquoi ne pas avoir défini cette finalité et fait appel aux supporters pour prendre des parts dans cette société surtout qu’un ancien président de l’Excel avait un jour déclaré « Une manière de permettre aux supporters de se réapproprier le club » ?

Et maintenant ?

Pour en revenir au nouveau club de football local -Stade Mouscronnois Squadra- il se chuchote également que madame Aubert, aidée de l’ancien joueur local et Internaltional MBo MPenza, négocierait avec Dubaï pour ramener un club pro au plus vite au stade afin d’assumer le loyer. Est-ce dire que voir évoluer le nouveau club dans la rue du Stade est déjà compromis ?