La crasse amène la crasse

Un mail reçu, accompagné de photos, avec comme objet « Au Tuquet aussi on a soif » me donne envie de remettre une couche sur la saleté qui sévit de plus en plus à Mouscron.

Pour en revenir à un précédent article, je doute que madame Aubert, la bourgmestre de Mouscron chante régulièrement les chansons de Brassens… mais sait-on jamais et ne mettons pas en doute ses capacités …vocales.

Dire que Mouscron est une ville idéale est utopique. Déjà qu’on refoule le vélo dans le centre, il restera la crasse pour repousser le piéton.

Qui sait, si la Ville plaçait des prises USB pour smartphone auprès des bancs publics, les gens pourraient s’y brancher les pieds dans la saleté pour tchater fleurette, vu qu’ils ne lancent plus des cailloux sous les fenêtres.

Quant aux saletés que l’on retrouve un peu partout, que ce soit au centre-ville, dans les quartiers ou dans ce qu’il reste de nos campagnes, les premiers en cause sont certains Mouscronnois irrespectueux ou des personnes venues bien souvent de l’autre côté de la frontière.

La Ville de Mouscron est pourrait-on dire co-responsable dans la mesure où elle ne met pas suffisamment en œuvre les moyens pour éradiquer ce fléau !

De nombreux mouscronnois(es) rencontré(e)s déplorent le manque de civisme de certains. Ils regrettent également le manque de réactivité des édiles communaux.

Le slogan « Mouscron, ville propre » serait-il utopique ? Il serait peut-être intéressant de (re)lancer une véritable campagne afin d’améliorer l’image de notre Cité ou alors d’enfin passer à la répression.

Est-ce le hasard si le centre-ville attire peu de monde et que le commerce décline ? Est-ce un hasard si le marché hebdomadaire s’appauvrit au fil du temps ?

Il est urgent que nos responsables aillent se promener dans certaines villes où on a bien compris que la beauté et la qualité de l’environnement sont essentielles dans l’animation d’une commune.

On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre !!!

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La fontaine des Hurlus

Voici la définition du Larousse pour le terme « fontaine » : Source d’eau vive jaillissant du sol naturellement et se déversant généralement dans un bassin. Édicule de distribution d’eau, simple ou architecturé, comprenant au moins une bouche d’où l’eau s’écoule dans une vasque ou un bassin : fontaine publique

Sur le site du Musée de l’Eau et de la Fontaine on peut encore lire la définition de la Fontaine des Hurlus située à Mouscron : « Un large bassin, divisé en deux triangles par un passage central, sert de réceptacle à quatre sculptures en marbre. Un style particulier mais vivant a été adopté pour les personnages. Une végétation aquatique habite la fontaine ».

Aujourd’hui, tout a bien changé. Hormis lorsqu’il pleut, il y a belle lurette que cet Espace des Fontaines n’a plus vu couler une goutte d’eau. Elle n’en a plus que le nom ! La végétation aquatique a désormais fait place à des plantes complètement carbonisées pour la plupart.

Les personnes fréquentant l’endroit s’étonnent de voir cet endroit situé à l’ombre de Saint-Barthélémy ainsi délaissé.

A quelques mètres de là, sur la Grand-Place, de nombreux bacs à fleurs servent de décoration mais aussi de paravent pour éviter aux piétons, aux cyclistes ou automobilistes de se retrouver dans l‘écoulement se situant entre l’esplanade et la voirie.

Bref, Mouscron est très loin de rivaliser avec Pernes-les-Fontaines, ce superbe et incontournable petit village provençal situé dans le département du Vaucluse.

Si un peu partout on crie à la sécheresse, au manque d’eau, sachez qu’un projet de mine de lithium (pour les batteries électriques) existe dans le désert du Nevada pour 2035.  On y creusera à 110 m de profondeur et vous êtes bien assis ? … 10 000 000 de litres d’eau et 41 000 litres de gasoil PAR JOUR seront utilisés …

Ainsi va le monde !!!

Une cohabitation piétons / deux roues est-elle possible ?

La saga des trottinettes et des vélos dans le centre-ville de Mouscron a déjà fait et fera sans doute encore couler pas mal d’encre et de salive.

De débats en débats, La dernière décision en date serait d’: « Interdire la circulation des trottinettes et des vélos sur l’esplanade de la Grand-Place et dans la Petite-Rue. Des contrôles seront organisés pour la faire respecter et la situation sera évaluée dans 6 mois » peut-on lire sur le site de la RTB en date du 25 mai dernier.

La bourgmestre a notamment suivi l’avis du commissariat indiquant que les incivilités sont légion au point qu’il faudrait une surveillance permanente pour réprimander si pas verbaliser.

Notez bien la conjugaison du verbe falloir. « Il faudrait » et non pas « On va faire ».

Mouscron et Dalida pourrait s’accorder sur un point « Paroles, paroles, paroles » Quant aux actes… on patientera.

Le GRACQ (Groupe de Recherche et d’Action des Cyclistes Quotidiens) s’offusque de la décision de madame Aubert. On peut se demander si ses membres ont déjà mis le bout du nez dans l’hypercentre ou même dans nos artères où les trottinettes défilent à la vitesse grand V sur les trottoirs. Il faudra peut-être un grave accident pour avoir une réaction communale.

Loin de moi l’idée de défendre notre bourgmestre, mais s’il y a des fous du volant, il existe des tarés sur 2 roues, au mépris total des piétons. Lorsqu’en plus on constate l’état de nos trottoirs et de nos routes, les cyclistes mais surtout les utilisateurs de trottinettes – et ils sont légion- risquent leur vie à chaque tour de roue.

Ce matin, sur le marché communal, des dizaines de vélos et trottinettes déambulaient. OK, leur vitesse était pour certains limitée… mais où est l’interdiction prônée ?

Comme bien souvent, à Mouscron on pond des lois, des règlements -sans doute pour se donner bonne conscience-, mais on ne fait rien respecter ou si peu. Il y a très loin de la coupe aux lèvres.

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Brigitte -Aubert- « on » a soif

Sur l’air de chef un p’tit verre on a soif

Ce matin, deux ouvriers communaux s’affairaient aux bacs à fleurs de la Grand-Place afin d’enlever les mauvaises herbes, abreuver les plantes.

Si la Grand-Place est privilégiée, il n’en est pas de même pour certains quartiers.

Les 9 bacs à fleurs décorant le parvis de l’église du quartier du Nouveau-Monde sont très bien entretenus. Par contre, Il n’en est pas de même pour le bac abandonné à côté des PAV (points d’apport volontaire) qui se trouve sur le parking du Bon-Pasteur. Le pauvre a vraiment triste mine et crie désespérément à boire.

Détail amusant… On peut lire sur les deux beaux autocollants apposés sur ce bac à fleurs « Toutes les choses grandissent avec amour » et « les plantes c’est joli, c’est bon pour la santé et ça favorise la diversité »

Joli contraste !! Faut-il en rire ou en pleurer ?  

Point positif, et c’est à souligner, aucun dépôt clandestin à côté des PAV !

Certains de nos aïeux doivent se retourner dans leurs tombes en voyant ce qu’il reste de leurs principes d’éducation au respect des structures collectives. Que ce soit pour les biens ou pour les personnes, certains ne les portent plus du tout dans leur échelle de valeurs ! Font-ils encore partie de l’Humanité ? 

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Bancs publics mouscronnois

A Mouscron, l’automobiliste ne ressent que les nids-de-poule, ne supporte que les bouchons et les travaux qui sont légion. Il n’a qu’une vision étriquée de sa ville.

Il n’en va pas de même pour le piéton qui découvre malheureusement ce que devient chaque jour Mouscron.

Qu’il est loin le refrain de la chanson Les Amoureux des bancs publics de Georges Brassens qui fredonnait « Les gens qui voient de travers pensent que les bancs verts Qu’on voit sur les trottoirs – Sont faits pour les impotents ou les ventripotents – Mais c’est une absurdité car à la vérité, ils sont là c’est notoire – Pour accueillir quelque temps les amours débutants – Les amoureux qui s’bécotent sur les bancs publics – Bancs publics, bancs publics – En s’foutant pas mal du regard oblique des passants honnêtes —
Les amoureux qui s’bécotent sur les bancs publics – … »

A voir la crasse qui entoure les bancs publics mouscronnois on doute fortement que de jeunes amoureux puissent conter fleurette sur la place de Mouscron.

Si comme partout ailleurs l’arrivée de la pluie est attendue pour raviver les pelouses, les plantes, les légumes et même redonner vie à nos rivières et plans d’eau, les Mouscronnois aspirent à l’arrivée de cette pluie pour nettoyer leurs rues et la Grand-Place.

Début juillet, un journaliste se foutait vraiment de la gueule du monde en titrant « Mouscron, the place to be ? ». A le lire, on pourrait croire que Mouscron est comparable à Monaco par sa propreté, son côté sécurisant, … Nous sommes loin, même très loin de la coupe aux lèvres car la vérité est toute autre.

La ville est chaque jour de plus en plus sale. La sécurité ? Faut-il en parler ? Les quelques articles de presse traitant le sujet ne sont que la face visible de l’iceberg car les infos sont sans doute distillées avec parcimonie.

Heureusement à Mouscron il n’entre pas encore dans les intentions de notre bourgmestre de rebaptiser notre Grand-Place « Place Georges Brassens » comme le fut le Parc Communal tournaisien. Mais qui sait, dans un avenir proche et de manière démocratique (à la sauce Aubert -qui aime s’inspirer de son collègue Tournaisien-) la Grand-Place sera-t-elle baptisée du nom de son chanteur ou sa chanteuse préféré(e) !

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L’arnaque continue à Mouscron et ailleurs

Leur cinéma est bien rôdé et leur clientèle bien ciblée …

Ils arrivent bien souvent de l’autre côté de la frontière avec tout ce qu’il faut pour attirer les pigeons … ou les cochons de payeurs.

Ils se présentent avec une petite carriole, vous offrent un petit bonbon et embrayent en vous demandant d’acheter un paquet pour aider leur cirque … Évidemment, ce cirque n’existe pas et les 5 € (parfois même beaucoup plus) récoltés ne servent qu’à remplir leur caisse. En observant leur manège, on constate que les personnes âgées ou celles se promenant avec un compagnon à quatre pattes sont particulièrement visées.

Les plus anciens se souviendront sans doute que ces arnaqueurs déposaient parfois un petit animal (chat, chien ou même une chèvre sur leur présentoir à bonbons)

Ce mardi, sur le marché de Mouscron, les vendeurs de bonbons avaient fait place à ce qui pourrait ressembler à un Mickey.

Le célèbre personnage de Disney était accompagné de son photographe. Polaroïd au cou, il attendait que sa grande souris ait appâté un client… Oui, tout est bien rôdé ! Clic clac, pour 8 € vous aurez droit à votre photo. Pour quelle œuvre « bidon » ira cette fois-ci les bénéfices de leurs prises de vues ?

Sans aucun doute comme pour les vendeurs de bonbons : tout dans leurs poches.

Combien de temps nos autorités communales laisseront-elles encore notre population se faire plumer par de tels escrocs ?

Evidemment, nulle présence de représentants de l’ONSS ou de l’ONEM pour les contrôler !

Non cela ne fait pas partie du folklore comme certains l’affirment.

N’hésitez pas à cliquer sur la photo pour découvrir un très bel article publié sur le site de RTL sur ce sujet.

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